Mais le mode de traitements des déchets étant de la compétence de l’Assemblée de Corse, on confiait mezzo voce, que ce n’était pas le moment de demander aux élus de changer de stratégie dans un domaine aussi sensible.

La réunion prit fin après moins d’une heure, elle avait débuté avec trois quarts d’heure de retard, commission d’appel d’offres oblige. Pas grand-chose à dire de plus.

Chacun est reparti, amer et résigné, se disant qu’il faudra bien trouver une solution, pour mettre un terme à ce que l’on a appelé la crise des déchets. Wait and see disent nos amis britanniques, pour exhorter à la patience.

Traduire