Festa di l’Assunta Gloriosa in Petra


Dès 17 heures 30 A Cicona, annonciatrice de grands évènements, est venue recouvrir le village de sa vénérable mélodie, plus encore lorsqu’elle est l’œuvre de carillonneurs, des enfants de Pietra*, qui mettront toute leur âme dans cet exercice musical et périlleux loin d’être anodin.



Photos Laurent Straboni
On cherchera tout au long de la procession, à apercevoir ces intrépides, juchés tout en haut du clocher, qui ont montré, en ce jour de l’Assunta Gloriosa, leur attachement à leur village. Qu’ils en soient remerciés.
Ils ont nom : Laurent et Jules Straboni, Laurent Martinetti et Didier Marazzani.
Jour de célébration de l’assomption de la Vierge Marie, mère de Jésus Christ pour les catholiques, le 15 août est aussi la fête de ceux, qui très nombreux, portent dans l’île ce prénom. S’y ajoute de plus en Corse, une connotation profane, Marie a été très souvent « invoquée et reconnue comme la reine et la protectrice de l’île ».
Le 15 août, jour férié, est parmi les jours de l’année où sont célébrées le plus de messes dans les églises de l’île, certaines par anticipation, comme à Pietra, où elle a été célébrée ce 14 août.

Les prêtres en exercice ne suffisant pas à satisfaire à la demande, des prêtres supplémentaires sont venus de l’extérieur prêter main forte à leurs confrères. Le Père Emmanuel Gougaud du diocèse de Versailles, originaire de Cervioni et le Père Bertrand nommé supérieur du grand séminaire de Ouidah au Bénin en 2023, qui avait exercé préalablement en Corse sept années durant.
C’est de la sorte et (presque) sans surprise, que les paroissiens, ont vu arriver comme déjà l’an dernier à cette époque le Père Bertrand, très attaché à notre île et qui a débuté sa messe avec quelques mots de Corse.
Plus tard, et au cours de la procession, arrivé à Tozza, et certainement pris par la beauté du paysage, Père Bertrand ajoutera « n’abandonnez pas vos traditions, elles font partie de votre patrimoine. »

Annie Bencivengo lui avait répondu, en quelque sorte par anticipation, par un hommage rendu à la Vierge Marie, en langue corse.

Une belle messe, avec sa chorale entraînant l’église dans la prière, ne dit-on pas que chanter c’est prier deux fois.

Avant de partir en procession à travers le village, Père Bertrand remerciait pour la belle tenue de l’église, l’organisation de la cérémonie et la chorale pour sa prestation.
Un hommage qui a certainement été droit au cœur de Marie-Léria, qui s’est à l’évidence dépensée sans compter, pour assurer le bon déroulé de l’évènement, tant au plan liturgique que matériel.
Cinq stations jusqu’au Paesolu, avec des chants à la gloire de la Vierge Marie, entrecoupés de prières.

On reconnaissait sur le parcours Annie Campana, veuve du regretté Don Xavier Campana maire de Pietra di Verde de 1974 à 2007.

La procession s’achevait et les fidèles se dirigeaient vers le buffet copieusement garni par l’unité pastorale et les fidèles qui apportèrent selon l’usage de partage bien ancré désormais, « sucrés salés et boissons. »

*A Cicona peut-être déclenchée électriquement.
Photos MLP et GP
Messe anticipée pour la Sainte MARIE

Galerie photos, tournoi de boules 10 août 2025




















Un tournoi de pétanque, à classer dans les beaux souvenirs de l’été




54 joueurs, 27 doublettes et une belle affluence pour ce concours de boules organisé par la Stalla, avec Jérôme Guiller pour établir les tableaux de rencontre, assisté par Victor Bighelli, chargé de remettre les prix aux vainqueurs.
Un concours qui s’est achevé tard dans la nuit, à 2h 45 compte tenu du nombre important de compétiteurs.
Des parties qui ont été de bonne tenue et d’un très bon niveau, si l’on en croit les habitués de la pratique de ce sport.
Un sport qui nécessite avec une certaine technique, d’avoir une belle résistance physique, afin de pouvoir passer jusqu’à cinq tours dans un tournoi, chaque partie durant en moyenne une heure.
C’est dire que vers deux heures du matin de ce dimanche d’août, lorsque la finale a démarré, les quatre joueurs devaient avoir conservé quelque énergie, la seule technique, n’étant pas en mesure de compenser une quelconque défaillance dans ce domaine.

Photo Pietra di Verde u piu belle paese Christian et Thomas
Alors que dire, sinon bravo aux quatre compétiteurs Alain de Novale et José de Pietra les vainqueurs, qui paraissaient hier soir difficiles à battre au regard de l’ensemble de leur parcours, Christian et Thomas de Chiatra que l’on n’attendait pas en finale et qui ont fourni un niveau de jeu laissant présager de nouvelles surprises pour les tournois à venir.
Il y a les boules, mais il y a aussi toute l’animation que cela génère.

Beaucoup de monde sur les places, au bord des terrains de jeu, de la place de la Fontaine jusqu’à la Stalla qui ne désemplit pas et jusqu’à A Casetta di Ghjulia.

Une journée à classer parmi les beaux souvenirs de l’été.

D’abord pour Diane de Pietra et son amie Morigann de Lille, deux jeunes filles qui se sont inscrites pour cette compétition que l’on dit, souvent mais à tort, réservée aux hommes.
Leur premier concours et pour l’une d’entre elles sa première partie de pétanque…Elles firent le job, elles surent tenir compte des réalités du terrain en évitant de lever trop les boules et sans jamais se départir, elles offrirent au public qui assistait à la rencontre, une belle prestation.
Souvenir de vacances aussi, pour ce minibus d’étudiants allemands venus découvrir la Corse et qui suivirent jusque tard dans la nuit, le dernier carré des finalistes de cette compétition
Photos MLP et GP
Fermeture mairie et agence postale

Et Pietra danse…

En cette nuit du 8 août, on a dansé à Pietra.
Comme pour la foire, le bal de Pietra connaît d’année en année un succès qui ne cesse de croître.

Moins d’une demi-heure après le début de la soirée, il devenait difficile de trouver un endroit où se poser, parmi les tables qui recouvraient la place de l’église toute illuminée.
Il ne fallut pas attendre longtemps non plus, pour que la piste de danse se trouve occupée par une foule de piétrolais, mais aussi et de plus en plus chaque année, de gens venus de l’extérieur, en particulier des autres villages, venus chercher dans le cadre idyllique de Pietra, le réconfort de cette « expression de l’affirmation de la vie » qu’est la danse.

La danse qui se joue, qui s’écoute, qui se regarde et qui procure à tous les participants, acteurs et spectateurs, une sensation de bien-être.
Une griserie qui conduira jusque tard dans la nuit les plus vaillants.
A noter une innovation qu’il convient de saluer et qui répond mieux à la formule « Festa in paese ». La suppression des toiles vertes qui depuis toujours et pour chaque fête, surplombaient la place de l’église.

Gabrièle, Lou, Lesia, Flore
Une pensée enfin à toute cette belle jeunesse de Pietra, qui se donne sans compter pour son village, à tous ces bénévoles anonymes, à Ghjuventu Petrulaccia, à la responsable des festivités Marlène CIMA.
Organiser, gérer la soirée, remettre en ordre une fois la fête finie, avec comme seule rétribution la considération et le respect de tous ceux qui comme eux aiment leur village.
Photos MLP
GALERIE PHOTOS



A piccola storia di a cappella Santa Croce

Comme les églises, les chapelles dites extérieures, font partie du patrimoine religieux, qui au regard de la loi de séparation des églises et de l’Etat, sont la propriété des communes.*
Comme dans les églises, on y célèbre le culte et le curé de la paroisse en est l’affectataire** de droit.
Lorsque l’on regarde l’église Saint Elie, rien ne permet de s’apercevoir, qu’attenante à elle, existe une chapelle, avec son nom propre, distinct de celui de l’église.
Tous les piétrolais connaissent Santa Croce, dédiée à Saint Michel, bénite en 1735***, mais peu connaissent son histoire particulière, qui a connu une évolution significative à partir du milieu du 20e siècle.
On pourrait à peine compter sur les doigts d’une main, ceux qui enfants, assistèrent pour la Saint Michel*** à la messe qui y était célébrée annuellement jusqu’au début des années 50.
C’est avec l’Abbé Pellegri devenu curé de la paroisse à la sortie de la deuxième guerre mondiale et qui exerça son ministère à Pietra plusieurs décennies durant, que la chapelle Santa Croce connut une évolution dans sa destination.
Homme très dynamique, l’Abbé Pellegri orienta son ministère vers une plus grande fusion entre le temporel et le spirituel, créant, dans le cadre de la pastorale de l’église catholique, ce que l’on appellerait aujourd’hui un « centre de loisir », en organisant pour la jeunesse jeux, pièces de théâtre, groupe de chants, certains d’entre eux se souviennent que l’Abbé Pellegri avait même fait l’acquisition singulière, d’un billard, qui trônait dans la chapelle Santa Croce.
Des bals, des kermesses, la production de chanteurs corses, prirent le pas sur le centre de loisir et c’est alors que l’’Abbé Pellegri allait créer le premier « comité des fêtes » du village. Il en donna la responsabilité à des villageois.
Certains se souviennent en particulier de Toto Massoni, homme d’une grande intégrité, respecté de tous, grand blessé de guerre qui en assura la présidence.
Les fêtes organisées étaient en concordance avec le culte de la religion catholique, tout particulièrement à l’occasion de la Saint Augustin Saint patron de la commune de Pietra di Verde.
Il fallut bien évidemment trouver un lieu pour entreposer le mobilier, les denrées et le matériel utilisé à ces occasions et ce fut la chapelle Santa Croce qui avait cessé toute activité cultuelle et ludique, qui fut utilisée à cet effet.
Après l’Abbé Pellegri, les prêtres qui se succédèrent, appelés à exercer leur mission dans de nombreuses paroisses, abandonnèrent le comité des fêtes à la commune.
La commune poursuivra l’organisation des activités festives, avec la création d’associations laïques.
En l’absence de toute utilité ecclésiastique, avec la forte probabilité que Santa Croce ne retrouvera pas sa fonction originelle et dans l’intérêt de la communauté communale, les curés successifs ne se sont jamais opposés à la poursuite de cet usage créé par l’abbé Pellegri, un usage connu de tous et qui existe depuis plusieurs décennies.
La chapelle est ainsi demeurée à la disposition de ces associations avec l’accord tacite de l’église.
Remerciements à Félix Raffini qui a apporté ses connaissances de l’histoire de Pietra à la rédaction de cet article..
*Distinctes des chapelles intérieures situées à l’intérieur même de l’église. Edifiées avant 1905.
**Personne physique ou morale a qui est affecté un bien public, pour en assurer la gestion à la place du propriétaire.
*** Dédiée à Saint Michel, bénite en 1735 (Jean Massoni la Gazette piétrolaise, cf livre du chanoine Casanova l’histoire des églises de Corse, tome 3 P. 242)
Selon l’Apocalypse de Jean, Saint Michel qui est dans la bible un archange, est un combattant victorieux des anges rebelles emmenés par Satan sous la forme d’un dragon.
Vendredi Grand bal annuel

A Casetta di GHJULIA, un nouvel espace de convivialité permanente* à Pietra di Verde

Tout ce qui contribue à favoriser les échanges qui fondent la vie en société, en particulier dans les villages de montagne, est toujours un événement important.
Si à Pietra di Verde, le bar du village, avec ses terrasses et son terrain de boules est au cœur de la relation humaine tant à raison de son objet que de son caractère permanent, il faudra désormais y ajouter « A casetta di Ghjulia », créée il y a quelques semaines et qui vient utilement le compléter.

Située à une dizaine de mètres de la Stalla, a Casetta propose les vendredis et samedis à partir de 18 heures ses Pizzas, mais aussi et selon les jours, des Bruschette, du Tiramisu, du Pain perdu, des frappe et des glaces.
C’est Gina, une enfant de Pietra, qui est à l’origine de cette création d’entreprise, après avoir satisfait à la sujétion du stage requis à cet effet.
Gina avait déjà et depuis longtemps, ravi le palais des piétrolais avec ses incomparables « frappe », qu’elle proposait aussi lors des fêtes de villages, en particulier à la prestigieuse « foire de la noisette » de Cervioni, sans d’ailleurs jamais pouvoir satisfaire tous ses clients, tant la demande était forte.
Elle prend le chemin d’un même succès, si l’on se réfère aux quatre grandes tables bordées de bancs, aux tables rondes que l’on voit presque toutes occupées et au nombre de véhicules automobiles qui stationnent à proximité les soirs d’ouverture.
On peut s’attabler et déguster sur place, ou opter pour le « A emporter » tellement pratique et bienvenu pour le repas du soir.
Un exemple de prix : avec 20 € on peut dîner d’une pizza, avec dessert et boisson.
Ce coin de « petite restauration » ainsi créé en haut de la montée de l’église est une heureuse initiative, qui permettra à Pietra d’asseoir mieux encore sa réputation de village de lieu de vie où il fait bon être, avec sa place de la Fontaine, fréquentée l’après-midi par les promeneurs, ses quatre terrains de boules, pourvu pour l’un d’entre eux de sièges, afin que les aficionados de ce jeu populaire, apprécient dans le meilleur confort, le spectacle qui leur est offert.



En nous régalant, « A Casetta» est venue renforcer l’esprit de convivialité que l’on trouve dans notre village.
Bonne chance à « A Casetta di Ghjulia » belle réussite et bon courage à Gina !
*A Pietra di Verde, la convivialité éphémère est aussi très présente avec ses foires et ses bals, ses animations diverses, ses « banquets » de la place de l’église, ses festivités qui rythment les saisons et qui attirent chaque année de plus en plus de monde. Ce dimanche 27 juillet la 5e édition de la foire a connu un grand succès. Le grand bal de l’été est fixé au 8 août.
La fête, invitée d’honneur de la 5e foire de Pietra di Verde

Une tendance qui est venue se confirmer, le concept « foire – fête » s’impose désormais.
Fini la coupe du ruban au petit matin, avec la déclaration solennelle de l’autorité communale qui déclare ouverte « la énième foire de Pietra di Verde,» suivie de la visite académique et ordonnée des stands des exposants, sous le carillon mélodieux et combien nostalgique de « a Cicona ».
Une tendance qui s’est confirmée au cours des ans pour en arriver, en ce début de soirée de ce dimanche 27 juillet, à être averti de l’ouverture de la foire du village, par une inoubliable musique rock des années 50-60 qui ne vieillira jamais, dominée par la voix de l’animateur, diffusée par des enceintes à haute intensité, sur l’ensemble de la foire.

En répondant sans trop tarder à son appel, on a pu se rendre compte que beaucoup de monde se trouvait déjà dans le triangle « Stalla – Place de la Fontaine – place Santelli », tapissé par les nombreux exposants prêts à accueillir leur clientèle du jour.
Les visiteurs dont le nombre s’accroît très vite, pour devenir foule, vont et viennent sans ordre déterminé, sans logique apparente, quitte à revisiter plusieurs fois le même stand, ou au risque d’en oublier d’autres.

La déambulation d’une foule qui sera séparée à rythme régulier par un attelage de chevaux, interrompue par le spectacle d’une attraction de la « Souris Verte », par la mise en place d’un élément gonflable monumental, ou encore par le groupe Ancora Musica, formé de trois guitaristes très talentueux qui attirera devant lui une grande partie des visiteurs.
Mais contrairement à l’apparence du premier abord, cette errance collective est déterminée par les rencontres que l’on peut faire dans cette myriade humaine, en cette fin de juillet, cœur de l’été, quand les maisons se remplissent à nouveau, ou par des visiteurs venus des villages environnants.
Par tendance, sinon par habitude, on se rend à la Stalla pour commencer la visite de la soirée.

Bonne pioche. A l’entrée, sur la terrasse on y trouve un petit groupe où l’on reconnaît Jean-Guy Talamoni, président de l’Assemblée de Corse dans la précédente mandature, avocat au barreau de Bastia, aujourd’hui professeur à l’Université de Corté dont on peut dire que dans une certaine mesure, il a influé sur l’avenir de la Corse, en particulier au début du siècle.
Il converse avec Jean Massoni, qui lui s’est intéressé au passé de la Corse et à l’histoire de son village.
François , qui fut maire de Matra pendant plusieurs décennies, fin observateur de la politique corse, participe à la conversation, avec Antoine Giorgi dont les analyses économiques, résultant de son expérience de chef d’entreprise, ont certainement apporté un plus au mini débat qui ne pouvait manquer de s’instaurer.

Pas très loin de l’entrée, mais à droite, se trouve notre fringante et souriante Marie-Thérèse.

Un peu plus loin encore, on est devant chez Marie-Rose Straboni que l’on aperçoit. Une famille qui a tant apporté à notre village. Elle est avec Annie sa cousine qui excelle dans l’écriture de la langue corse et qui participe activement à la revue de l’association AVCP pour la sauvegarde de la Chapelle San Pancraziu, présidée par Marie Léria, qui tenait un peu plus loin un stand pour faire connaître l’association créée en 2001.


Entre les deux, Jean-Marc Mialdea expose des colliers avec comme pendentif une pierre verte dénommée smaragdite ou émeraude, à raison de sa couleur verte, encore appelée Pierre d’Orezza.
Toujours dans le même espace, se trouve Félix Raffini qui a longtemps participé à la gestion de la commune en tant qu’élu au conseil municipal et qui en fut le maire adjoint.

Autres présents dans l’espace bar, François Castellani, que nous appelons Francé, présent à Pietra avec sa compagne, qui est à l’origine de la création de la page Facebook « Pietra di Verde u piu bellu paese », gérée sur place par Marie-jeanne Pavia.

Toujours devant le bar, ce sera l’apparition inattendue de la pétulante Ilda Valéry, qui ne passera pas inaperçue, accueillie par les congratulations et embrassades de ses amies ravies de la revoir.

Plus discrètement, voici l’arrivée du maire et de son épouse Marie Paule qui vont se fondre à la foule.

Arrivé sur la place du village après avoir assisté devant la maison Battesti au spectacle mettant en scène les immenses effigies des personnages Lilo et Stich.

Et après avoir fait un crochet pour admirer les œuvres de l’artiste peintre, Marie-Paule Pancrazi, on remarquera un personnage typique de la Corse d’autrefois, devant un étal de vendettas.


Près de lui, les lampes de Jean-Marc Toracca, qui font désormais partie de l’identité de Pietra, montées sur racines de châtaigniers.


Un peu plus loin encore, ce seront les migliacce de Paulu Felice, qui ont toujours autant de succès avec, à ses côtés, Marcella qui expose des bijoux de sa création.

Soudain, voilà Marie-Jeanne, accompagnée de son petit-fils Raphaël, âgé de 20 ans que nous avons vu grandir d’année en année, pour devenir un beau jeune-homme. On comprend en le voyant la fierté de sa grand-mère.

Dernier point mais non le moindre, nous apercevons avec les musiciens du groupe « Ancora Musica » la grande prêtresse de la journée, Maître Cima, conseillère municipale chargée des festivités, que nous appelons affectueusement Marlène dont, après chaque opération de cette ampleur, on se demande toujours le nombre d’heures passées pour gérer la mise en place de la foire et atteindre l’objectif fixé, ce qui devient de plus en plus un vrai pensum au sens « d’un travail pénible et d’une grande complexité », même pour une professionnelle.
Remercions Marlène, remercions aussi Gjuventu Petrulaccia dont les membres se sont dépensés sans compter ainsi que la mairie de Pietra di Verde, maître d’ouvrage totalement impliquée.
Remercions enfin, tous ceux qui ont participé à la foire, ne serait-ce que par leur présence.
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