Saint Elie* sera célébré en l’église de Pietra vendredi à 18 h

Saint Elie* sera célébré en l’église de Pietra vendredi à 18 h

 

 

Messe de la Saint Elie, vendredi 20 juillet à 18h

 

L’église de Pietra porte le nom d’Elie, l’un des plus grands saints de la religion catholique. Elie est aussi Prophète de la religion juive et figure dans le Coran parmi les « gens de bien », au même titre que Jésus, Jean-Baptiste et Zacharie.

Elie a été reconnu par les trois grandes religions monothéistes pour avoir dit-on, combattu devant Achab « roi impie d’Israël », pour le culte du Dieu unique menacé par l’idolâtrie, qui prenait le pas sur le religieux. Il aurait ainsi sauvé le monothéisme.

Une vingtaine de siècles plus tard, plusieurs ordres religieux en soif d’absolu, en particulier les Carmes s’inspirèrent de sa vie d’ascète vouée à la religion. Le rôle de cet ordre, dans l’édification des églises baroques en Corse à partir du 18e siècle, explique pense-ton que l’une d’entre-elles, porte son nom.

* Né au 9e siècle avant Jésus Christ, Elie vécut dans une grotte sur le Mont Carmel en Galilée.  Il y mènera une vie d’ascète, faite de privation, de méditation et de prières.

Les « Violoncelles de Moïta » avec Marie-Paule Ghipponi

Les « Violoncelles de Moïta » avec Marie-Paule Ghipponi

Une douce et belle soirée que ce 13 juillet 2018 à Pietra di Verde, avec le « Concert grand ensemble » qui se diversifie encore, ajoutant cette année aux violoncelles les guitares, les violons et la flûte traversière et nous faisant découvrir avec « E Tintenne », la voix de Letizia Giuntini, chaude et ondulante, qui a conquis une église comble, d’un public sous le charme.   

Depuis 19 ans que ces rencontres existent, tout a été dit sur l’immense succès remporté par « Les Violoncelles de Moïta », dont les initiateurs musiciens ont permis à de petits villages, de devenir chaque année, l’espace d’une soirée, le centre de la Corse mélomane.  

Tous  leurs habitants, tous les participants, ne remercieront jamais assez ces musiciens qui leur offrent généreusement leur virtuosité ; un don qu’ils reçoivent comme une marque d’estime et de considération. 

Mais ce qui est devenu une véritable institution, ne pourrait exister sans le dévouement et l’abnégation de militants de la Corse profonde, qui avec discrétion mais détermination, oeuvrent pour que vivent nos communautés villageoises de l’intérieur de l’île.

 

Marie-Paule Ghipponi est de ceux là. Présidente de l’association des Violoncelles de Moïta, elle en est l’ambassadrice tant en France qu’à l’étranger et veille depuis lors à l’organisation matérielle et à la gestion des désormais célèbres rencontres.

Pour cette militante de la vie dans nos villages, il y a certes l’administration, l’accompagnement, mais lorsque cela est nécessaire, le combat. L’un d’entre eux qui lui tient à coeur, celui pourrait-on dire de sa vie militante, concerne les communications routières, que l’on sait essentielles pour l’existence même de nos villages.     

Pour mener ce combat, elle a  créé le Comité pour la défense des routes du canton de Moïta-Verde, avec comme objet, la remise en état de ces routes en voie de délabrement. Un combat harassant, sans fin, son mythe de Sisyphe pourrait-on dire.

Inlassablement, depuis des années et des années on a vu Marie-Paule faire tourner des pétitions, rencontrer les élus responsables à Bastia et à Ajaccio, prendre la tête de manifestations de tous ordres, prendre la parole partout où cela est nécessaire, une parole sobre, responsable, convaincante et talentueuse, qui lui a permis de faire l’unanimité sur un sujet majeur, au-delà des divisions que la pulitichella fait habituellement régner.

« Les Violoncelles de Moïta » en concert à Pietra. Une occasion pour saluer et rendre hommage à sa présidente Marie-Paule Ghipponi, véritable combattante de la vie dans nos villages. 

    

 

Les « Violoncelles de Moïta » avec Marie-Paule Ghipponi

Les violoncelles de Moïta, avec Marie-Paule Ghipponi

  

Une douce et belle soirée que ce 13 juillet 2018 à Pietra di Verde, avec le « Concert grand ensemble » qui se diversifie encore en ajoutant cette année guitares, violons, flûte traversière et en nous faisant découvrir avec « e Tintenne », la voix de Letizia Giuntini, chaude et ondulante, qui a conquis une église comble, avec un public averti et sous le charme.

Depuis 19 ans que ces rencontres existent, tout a été dit sur l’immense succès remporté par « Les violoncelles de Moïta », dont les initiateurs musiciens, ont permis à de petits villages, de devenir chaque année, l’espace d’une soirée, le centre de la Corse mélomane.

Tous leurs habitants, tous les participants, ne remercieront jamais assez ces musiciens qui leur offrent généreusement leur virtuosité ; un don qu’ils reçoivent comme une marque d’estime et de considération.

 Mais une telle institution ne pourrait exister sans le dévouement et l’abnégation de militants de la Corse profonde, qui avec discrétion mais détermination, œuvrent pour que vivent nos communautés villageoises de l’intérieur de l’île.

 

Marie-Paule Ghipponi est de ceux-là. Présidente de l’association des Violoncelles de Moïta », elle en est l’ambassadrice tant en France qu’à l’étranger et veille depuis lors, à l’organisation matérielle et à la gestion des désormais célèbres rencontres.

Pour cette militante de la vie dans nos villages, il y a certes l’administration, l’accompagnement, mais lorsque parfois cela est nécessaire, le combat. L’un d’entre eux, qui lui tient à cœur, celui pourrait-on dire de sa vie, plus terre à terre, plus prosaïque que tous les autres, celui des communications routières, que l’on sait essentiel pour l’existence même de nos villages.

Elle a ainsi pris la tête du Comité pour la défense des routes du canton de Moïta-Verde, en voie de délabrement. Un combat harassant, sans fin, son mythe de Sisyphe pourrait-on dire. Inlassablement, depuis des années et des années, on a vu Marie-Paule faire tourner des pétitions, rencontrer les élus à Bastia et à Ajaccio, prendre la tête des manifestations de tous ordres, prendre la parole partout où c’était nécessaire, une parole sobre, responsable, convaincante et talentueuse qui lui a permis de faire l’unanimité sur un sujet majeur, au-delà des divisions que la pulitichella fait habituellement régner.

Les Violoncelle de Moïta » en concert à Pietra. Une occasion pour saluer et rendre hommage à sa présidente Marie-Paule Ghipponi, véritable combattante de la vie dans nos villages.

 

La RD17, rien de nouveau sous le soleil de Pietra

La RD17, rien de nouveau sous le soleil de Pietra

 

 

Lorsque la Collectivité Territoriale se déplace à Pietra, avec le président de son assemblée, Jean-Guy TALAMONI, la conseillère exécutive chargée du réseau routier Vanina BOROMEI et tout un staff de techniciens et d’accompagnateurs, pour communiquer sur le thème « Infrastructures routières », on ne peut qu’apprécier une démarche à laquelle nous n’étions pas habitués.

 

Mais le thème de la réunion nous conduisait à penser que des informations importantes allaient nous être livrées, d’autant qu’était prévue la présence du député Jean-Félix ACQUAVIVA, président du Comité de massif, qui eut un empêchement de dernière minute et que le bruit avait couru un moment de la présence du président de l’exécutif Gilles SIMEONI.

 

A 11 heures l’aéropage pénétrait dans la salle de la mairie archicomble et après quelques mots d’introduction du président TALAMONI, Vanina BOROMEI faisait une courte allocution de quelques minutes, pour dire qu’une « voie de tourne à gauche » serait réalisée à l’intersection de la RD17 et de la route territoriale 10 et que les travaux débuteraient à l’automne 2019.

Pour la RD17, elle indiquait qu’il n’y aurait pas d’opération de rénovation spécifique d’ensemble, mais « des remises à niveau des secteurs critiques »     

C’est ce qu’elle confirmait à demi-mot, en réponse à une question de Marie-Paule GHIPPONI, présidente du Collectif de défense des routes de Moïta Verde, qui l’interrogeait sur le sort du projet de réfection de la RD17, porté par feu la collectivité départementale, déjà bien avancé et dont le coût avait même été budgétisé.

 

Dès lors que nous étions désormais dans un projet « a minima », Marie-Jeanne PAVIA TORACCA demandait quand l’on pourrait envisager de pouvoir bénéficier d’une route « sécurisée ». Vanina BOROMEI lui répondait sans hésitation : « dans une année à compter d’aujourd’hui ».

Une réponse satisfaisante, sous réserve de l’interprétation qui sera faite du concept « remises à niveau des secteurs critiques ».

 

Une présence remarquée à cette réunion, nos amis de Felce qui étaient venus en force pour faire part aux responsables de la collectivité de l’état de délabrement dans lequel se trouve leur route. Ils prirent longuement la parole de façon tout à fait convaincante et promesse leur fut faite, qu’en septembre de cette année, ils bénéficieront de la réfection tant attendue.

 

Déception, pour ceux qui nourrissaient l’espoir d’entendre l’annonce de la mise en œuvre du projet du département, consistant en la réfection d’ensemble de la RD 17 en une route sécurisée et sûre. Pour le reste, « attendre et voir ».

Parmi les personnalités présentes, nous avons noté la présence du président de la communauté de communes M. Jean-Claude FRANCESCHI et de Mme Pancrace MAURIZI maire de Chiatra.

Une carte postale de Marie-Paule Pancrazi

 

  

Zarafa la girafe, une oeuvre majeure de l’artiste.

Hier soir à l’Office du Tourisme d’Arnay le Duc a eu lieu le vernissage de l’exposition de Marie-Paule Pancrazi qui se terminera le 27 juillet.

C’est dans une ambiance festive,en présence de représentants de la Municipalité d’Arnay le Duc et de Clomot où elle réside,  entourée d’amateurs de peinture et  d’amis que l’artiste locale a présenté son travail de l’année.

Partie  de l’envie de voyager dans l’univers des Maitres Vénitiens du XVIIIème, mais aussi d’aller explorer les années bohèmes du jeune Picasso quand il fréquentait les artistes de cirque à Montmartre, Marie Paule Pancrazi a pris pour fil conducteur l’épopée de Zarafa la Girafe faisant étape à Arnay le Duc au cours de sa marche vers Paris.

Ce carnet de voyage invite dans son sillage: artistes de rues, baladins, montreurs de marionnettes et acteurs de tréteaux, faisant à l’animal une escorte triomphale et bigarrée…..sortie de l’imagination du peintre !

L’Office du Tourisme est ouvert du Lundi au Samedi de 9h30 à midi et de 14h à 18h.

Nocturne les Jeudis soirs et présence de l’artiste aux nocturnes jusqu’au jeudi 26 juillet

(Office du tourisme d’Arnay le Duc)

Réunion publique vendredi 6 juillet sur le thème « Infrastructures routières »

 

Vendredi 6 juillet  à 10 heures 30, aura lieu, salle de la mairie, une réunion publique sur le thème : « Infrastructures routières », initiée par la Collectivité Territoriale.

Un certain nombre de responsables devraient être présents. On cite en particulier le président de l’Assemblée de Corse Jean-Guy Talamoni et Jean-Félix Acquaviva qui préside le  Comité de massif qui s’était réuni à Chiatra le 22 mars 2018 et qui avait prévu d’intégrer la RD17 dans le schéma du réseau secondaire routier de ce comité.

Un programme devait être établi dans les deux mois, pour les dix années à venir.

On n’en sait pas plus.

Sous le titre sibyllin « infrastructures routières », on peut toutefois penser, sans risque de beaucoup se tromper, que l’on parlera de « la route », attendue depuis si longtemps par tant et tant de générations.

L’église en travaux, réfection de la toiture de « a casaccia »

L’église en travaux, réfection de la toiture de « a casaccia »

 

Le toit de « a casaccia » est en réfection.

A casaccia est ce petit édicule comprenant une courette et une partie couverte par un toit de lauzes d’une superficie de 50 m2, contigu à la sacristie.

Aujourd’hui s’y trouvent les toilettes. Jusqu’au milieu du 19e siècle, c’était l’emplacement de la fosse commune où étaient inhumés ceux qui ne disposaient pas des moyens de se faire édifier une sépulture.

Des travaux devenus nécessaires, suite aux éléments qui l’ont mis à mal au cours de l’hiver,  réalisés par l’un des derniers grands spécialistes des toits en lauze, M. Paoli.

La cathédrale de Cervione

La cathédrale de Cervione

 

 

Située dans l’ensemble inter-paroissial dont la paroisse de Pietra fait partie, l’église de Cervione a la dénomination de « cathédrale ».

Il s’agit là d’une réalité historique, qui remonte à une époque où la Corse (depuis le 3e siècle) était divisée en 5 diocèses, auxquels correspondaient 5 évêques.

Dans la 2e partie du 16e siècle Aléria, siège de l’un de ces diocèses, fut détruite, très certainement dans le contexte de la lutte que SAMPIERO menait contre les génois.

L’évêque d’Aléria, Alexandre SAULI, un milanais de noble famille, transféra avec l’accord du pape le siège de son diocèse à Cervione et y fit bâtir une cathédrale, l’actuelle église.

En 1801, les 5 diocèses fusionnèrent en un seul, le diocèse d’Ajaccio.

Il est toutefois d’usage que l’église conserve sa dénomination de Cathédrale, même en cas de disparition de son siège épiscopal,

En passant par l’entrée latérale de l’église, on trouve une plaque de marbre qui mentionne les mérites d’Alexandre SAULI, qui conduisirent à sa canonisation par le pape Pie X en 1904.

Il fut en outre déclaré patron de Cervione en 1963.

 

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