INFOS PRATIQUES

 

 

Une coupure d’eau aura  lieu MARDI 26 AVRIL à partir de 14 H
 
 

Le secrétariat de Mairie sera fermé jeudi 28 et vendredi 29 avril

 

Des vents violents (vigilance jaune) sont prévus sur la Corse jusqu’à mercredi 27 avril au soir 

  

 

Nos producteurs sur les marchés : A Stalla à  Poggio Mezzana

Nos producteurs sur les marchés : A Stalla à Poggio Mezzana

C’est derrière un somptueux bouquet de collerettes translucides, formé par les sachets de Canistrelli, que ceux qui se sont rendus au marché de Poggio Mezzana, ce dimanche 24 avril, pouvaient découvrir Sabrina et Gina.

 

Tartelettes aux pignons, fiadones, sablés, tourtes aux herbes, quiches, toute la gastronomie corse de la biscuiterie sucrée – salée, avec en prime la grâce et la gentillesse de nos deux jeunes concitoyennes pour accueillir un public de connaisseurs.

Tous les produits avaient été testés et validés par d’intransigeants piétrolais qui étaient venus les encourager et confirmer que tout est « à consommer sans modération ».

 

Rappelons que depuis déjà bien longtemps, les charcuteries et fromageries Toracca et Valery, proposent leurs produits sur le prestigieux marché de Bastia le samedi matin. Des produits fabriqués selon la tradition et dont la qualité, qui est reconnue bien au-delà de notre village, nous honore à tous.

Charcutiers, biscuitiers, fromagers de Pietra, participent à la promotion des produits de notre terroir. A ce titre, ils doivent être remerciés.

Mathieu Savignoni, « Amour de la sagesse »

Mathieu Savignoni, « Amour de la sagesse »

Supermarché du temps passé, on y trouvait de tout, épicerie, habillement, chaussures, quincaillerie, outils, peinture, mercerie…Au Mucchiu, dans un espace de quelques dizaines de mètres carrés, on avait en quelque sorte, à la fois Leclerc et Weldom.

On était accueilli par Mathieu, singulier personnage, hors du commun et hors du temps, dont la personnalité dépassait l’aspect commercial du lieu.

Venaient s’y réunir, certes tous ceux qui avaient quelque chose à acheter, mais aussi ceux qui à cette occasion, auraient profité de ce philosophe d’une grande profondeur d’esprit, cultivé comme peu peuvent s’enorgueillir de l’être, une culture acquise pour soi, pas pour la parade.

Un certificat d’études primaires en poche, bien suffisant pour tenir un commerce de village, qu’il revendiquait avec fierté, un des moments les plus forts de son adolescence.

Avec Mathieu, on était en mesure de recevoir sa première leçon d’humilité, en même temps que de grandeur d’âme, qui valait très largement tous les bacheliers et les BAC + je ne sais trop combien.

A l’écouter parler à la perfection, un français châtié dont on pouvait se demander où il l’avait appris, à entendre les raisonnements qu’il tenait et les analyses qu’il faisait, on comprenait vite qu’il y avait au-delà des titres universitaires et des grades ou fonctions mirobolantes, dont chacun d’entre nous a toujours cherché à se parer, l’intelligence, en tant que faculté de connaître et de comprendre, d’accepter la contradiction et la différence, de reconnaître l’importance d’autrui, quel qu’il soit, et de ne retenir de chacun que ce qu’il y a de meilleur.         

L’entrée principale du magasin, comme celle de son domicile situé au- dessus, était à gauche de celle du docteur Ferrandi qui fut sénateur de la Corse.

Les deux maisons étaient contigües, coïncidence étrange ? Peut-être pas, deux fortes personnalités, qui se respectaient, deux intelligences, deux conceptions des hommes, qui avaient conduit le second à entrer en politique, le premier ayant trop le respect de l’homme pour s’y aventurer disait-il.

En entrant, on était saisi par l’exiguïté des lieux, et la présence un peu surréaliste de ce petit homme au physique et au charme d’acteur de cinéma russe des années 50, qui vous accueillait avec courtoisie et simplicité.

Passé les civilités d’usage et parfois un échange sur l’actualité du jour, il demandait invariablement, avec son accent si particulier, par une formule qui lui correspondait: «  tu as besoin de quelque chose ? »

Tout le monde recevait le même accueil, les enfants à qui il s’adressait comme à des adultes, ce qui n’était pas dans les mœurs de l’époque, de même que ceux, trop nombreux en ces temps là, dont il savait qu’ils ne paieraient que « plus tard », qu’il servait comme tout à chacun, sans jamais avoir le moindre comportement allusif à leur situation.

Lorsque l’on s’en étonnait, il répondait invariablement par des formules telles que : « Tu n’aurais pas voulu que je refuse les chaussures pour la rentrée des classes ? »

Une échoppe de la Corse profonde, que l’on vit évoluer avec deux signes qui allaient sceller sa disparition à la fin des années 70, l’arrivée du jambon de Paris, qui fit fureur et la disparition du vrac, précurseur des self-services… et du prêt à penser.

Cartes postales de Pietra à la Stalla

Cartes postales de Pietra à la Stalla

Une nouvelle initiative de la Stalla qui ne cesse de surprendre tout son monde, des cartes postales de Pietra !

Après les canistrelli, qui se vendent comme des petits pains et alors que l’on était branché « macarons aux amandes », entre parenthèses dignes des meilleurs de chez Ladurée, un présentoir de cartes postales de Pietra a surgi au-dessus des journaux, au moment où l’on s’y attendait le moins.

Un rêve pour beaucoup, car il faut savoir que le dernier commerçant du village à en avoir proposées, fut le regretté Mathieu Savignoni (père de Maddy, Antoine, Marc et Louis), il y a près d’un demi-siècle… Certains les avaient conservées comme des reliques et on ne pensait pas qu’un jour on en verrait à nouveau.

C’est désormais chose faite. Sabrina nous promet une plus grande diversité, pour le moment ce sont des vues du village, avec le barrage qui n’existait pas alors, et des Temponi, qui sont proposées à la vente. Affaire à suivre…

A Signora Madelena, peintre d’un autre monde

A Signora Madelena, peintre d’un autre monde

 

 

Portrait di a Signora Madelena

Née à la fin du 19e siècle, peu nombreux d’entre nous peuvent se prévaloir d’avoir connu Madelena Banghala née Nicolaï, peintre et poétesse.

C’est sur la fin de sa vie, qu’on l’appellera a Signora Madelena. Sauf quelques années au Maroc, où elle connut son mari, elle a habité le plus clair de sa vie dans la maison familiale di u Chernaghiu. C’était la tante de Monette, elle décèdera en 1982.

A Signora, un titre hérité de ses parents u sgio Tumbellu et a Signora Lilina, mais que la communauté villageoise ne transmettait pas automatiquement aux enfants de ceux qui le portaient.

Un titre qui paraît aujourd’hui désuet, comme celui de sgio, mais qui était, pour celui qui avait le privilège d’en voir précéder son nom, une marque de respect, une référence, un exemple, en même temps qu’une reconnaissance.

Aujourd’hui, il n’y a plus de sgio ou de Signora, tout va trop vite, on est porté aux nues ou voué aux gémonies, parfois d’un instant à l’autre, selon l’humeur du moment, ou l’intérêt que l’on y trouve.

Le village

A Signora peignait le village, qui lui inspirait aussi des poésies beaucoup in lingua nustrale*. Sa participation à l’enrichissement culturel du village, lui valait le respect.

La sérénade

Le respect car nombre de piétrolais étaient eux aussi à cette époque, poètes, compositeurs, conteurs, improvisateurs des fameux chiame e rispondie, interprètes de paghiele de tribiere et de lamenti, donneurs de sérénades…

Des modes d’expression artistique, mais aussi une façon de raconter la vie, d’exprimer ses peines, plus rarement ses joies, de déclarer sa flamme à sa bien-aimée, des moments de très forte convivialité qui renforçaient les liens entre tous.

Femmes récitant leur rosaire

A Signora Magdelena a fait partie de cette dernière génération de cet autre monde d’un peuple à forte identité, qui avait une culture du quotidien, une langue et des valeurs assumées que la peintre a traduites dans ses œuvres.

L’identité corse se dissout lentement, la culture est devenue trop académique, la langue enseignée à l’université a une consonance de solécisme, pour ceux qui la parlent couramment. Elle ne pourra remplacer la langue maternelle, avec ses formules idiomatiques qui reflètent l’âme d’un peuple.

Le marié conduit la mariée dans sa nouvelle maison

Quant aux valeurs, celles de solidarité, d’entraide, de respect d’autrui et de reconnaissance, elles tendent à s’effacer, comme c’est le cas partout ailleurs, le profit restant trop souvent la seule boussole, dans une société de plus en plus matérialiste où l’esprit a de moins en moins de place.

La récolte des châtaignes en famille, le retour

C’est en regardant la peinture di a Signora Magdelena, que l’on prend conscience de ce décalage, ce sera le prix à payer au progrès.

Le porteur d’Icones qui effrayait les enfants

Et c’est en cela que la peinture di a Signora présente le plus grand intérêt, car à travers l’art, c’est une évidence, se profile aussi une société qu’elle a su décrire.

Des femmes qui filent la laine              

Les porteuses d’eau

Une société de dur labeur, sans confort, sans commodités, que ne regrettent pas la plupart de ceux qui l’ont connue.

L’enterrement

La peinture di a Signora Magdelena, de caractère naïf au plan du genre, nous révèle cette époque avec un clergé omniprésent, une famille au sens le plus large du terme, qui avait une place fondamentale, supérieure à celle de l’individu qui s’effaçait devant elle.

U Fucone

Peinture d’une famille qui se réunissait autour de ces fucone qui trônaient au sein des foyers et ne s’éteignaient jamais, pour la nourrir, la chauffer, et la rassembler à la veillée, pour en quelque sorte s’y recueillir comme devant un autel.

Ils étaient un symbole fort d’unité et de solidarité de la famille, chacun, des plus jeunes aux plus vieux venant l’alimenter et ainsi la perpétuer.

Femme se rendant à un enterrement

Une peinture enfin où domine le noir, pour montrer peut-être, combien au sein des familles souvent très nombreuses, les temps étaient durs, les vies plus courtes et les deuils nombreux eux aussi, pour expliquer encore que les femmes sortaient voilées de noir, comme une marque de respect jusque à l’extrême, des morts comme des vivants.

Femme seule

A Signora Magdelena a peint une Corse en noir, mais une Corse de la dignité et de la fierté, ni rancœur, ni envie, ni rivalité, dignité et fierté, comme des signes de grande noblesse, sa Corse à elle.  

        

Les hortensias

A la fin de sa vie, elle devait peindre un bouquet d’hortensias, peinture singulière, prémonition d’une société aujourd’hui décomplexée, certains diront libérée, par la disparition de ce que l’on appelait la réprobation sociale, règle non écrite de la vie en société.    

*Voir le site de Marc Giorgi

Messe en souvenir de Madeleine STRABONI

Messe en souvenir de Madeleine STRABONI

 

Cela fait maintenant un peu plus de cinq  ans (février 2011) que Madeleine STRABONI nous a quittés. Nous gardons d’elle le souvenir d’une femme discrète, réservée, bienveillante à l’égard de tous, qui a voué son existence à l’intérêt commun.

On se souvient que cette ancienne factrice de Pietra qui vécut modestement, avait fait don de ses économies -l’épargne de toute une vie- à la commune et à l’église, c’est-à-dire à son village.

Madeleine STRABONI a pendant longtemps tenu bénévolement le secrétariat de la mairie avec dévouement et compétence.

Sa distinction naturelle, son amabilité, sa grandeur d’âme ont fait d’elle un exemple pour chacun d’entre nous.

La communauté catholique de Pietra di Verde, a évoqué son souvenir en faisant célébrer, ce samedi 16 avril, une messe en sa mémoire.

Décès d’Isabelle RAFFINI

Nous apprenons avec tristesse le décès d’Isabelle Raffini, survenu ce jour à l’hôpital de Bastia à l’âge de 88 ans. Mariée à feu Raffini Thomas, les époux s’étaient retirés à Cervioni à la retraite, après avoir vécu à Lyon où Thomas était employé de mairie.

Dans la tradition des Raffini, ils eurent dix enfants et de très nombreux petits enfants.

Isabelle faisait en effet partie de la grande famille des Raffini de Pietra di Verde qui comprenait elle-même 11 enfants,  sept sont encore de ce monde : Jeannot, Antoine, Félix, Berthe épouse Biaggi, Régine Veuve Didier, Pancrace veuve Ferroni et Philippa.

La maire de Pietra di Verde et les conseillers municipaux, adressent à ses enfants, à ses petits enfants, à ses frères et soeurs, leurs condoléances attristées.

La famille reçoit à Prunete au funérarium Mazzieri, ou le corps est exposé.

La levée du corps aura lieu lundi 18 avril à 14 h 15, la messe suivra à la cathédrale de Cervioni à 15 heures.

Conseil municipal : budget adopté à l’unanimité

Conseil municipal : budget adopté à l’unanimité

 

La maire Simone Nicoli lors de son exposé

C’est à l’unanimité que le budget a été adopté par les conseillers municipaux qui avaient été réunis pour la séance la plus importante de l’année.

Préalablement, la maire Simone Nicoli, avait donné par le détail à l’assemblée municipale toutes les explications sur chacun des postes budgétaires. Des explications qui ont duré près de deux heures et qui ont permis aux conseillers de délibérer en pleine connaissance de cause.

 

La signature du budget

Un budget sans surprise, en parfait équilibre avec en dépenses de fonctionnement 179252, 38 € et en recettes 157083 € avec un résultat de fonctionnement reporté de 22168, 88 €.

En investissement, en dépenses 148470, 15 €, en recettes 100849, 20 € avec un reste à réaliser de l’exercice précédent de 9935, 50 € et un solde reporté de 57556, 45 €.

Préalablement la maire avait soumis à l’approbation le compte de gestion 2015 lui aussi approuvé à l’unanimité.

 

Présentation du compte administratif par JC Valtin

Immédiatement après c’était Jean-Claude Valtin qui avait soumis à l’approbation des conseillers le compte administratif 2015, lui aussi adopté à l’unanimité.

Ponte Leccia, capitale de la forêt corse

Ponte Leccia, capitale de la forêt corse

 

Nombreuses sont les forêts communales qui sont à l’abandon faute de moyens, alors que l’on pourrait penser que sous certaines conditions, elles pourraient être une ressource importante pour les communes.

C’est le cas de Pietra di Verde, même si pour l’essentiel de son territoire, la forêt, composée d’espaces boisés, fait partie du domaine privé, domaine qui lui aussi pourrait être mis en valeur. La forêt communale est située dans le massif de Sant Appianu et se trouve en indivision avec celles de trois autres communes périphériques, Chiatra, Campi et Canale. Sa superficie est assez modeste, moins de 10 hectares.  

La gestion des forêts communales, tel a donc été l’objet pour l’essentiel de la réunion qui s’est tenue à Ponte Leccia à l’initiative de l’Association des communes forestières (COFOR) de la Haute Corse, membre de la fédération nationale qui regroupe les collectivités ayant sur leur territoire une forêt publique et plus largement les collectivités intéressées par l’espace forestier et la filière bois.

Le sujet est important. Pour l’ensemble de la Corse, le taux moyen de boisement est de 46%, alors qu’au plan national, il est de 26, 9%. La micro région de Corse la plus boisée est le Renoso Incudine, avec 65, 1 %, la Castagniccia venant en seconde position avec 63, 8 %.  

Seize maires des communes forestières de la Haute Corse étaient présents ou représentés en ce mardi 12 avril à Ponté Leccia. La maire de Pietra, Simone Nicoli, était représentée par Gérard Pancrazi.

 

M.Freddy Orsini président COFOR 2B et son collègue M.Colonna de Corse du sud

La réunion présidée par Freddy Orsini maire de Sant’Andria di Boziu a vu les interventions de Madame Chirat représentant l’Office de Développement Agricole et Rural de la Corse, l’ODARC et de Monsieur le directeur régional de l’Office National des forêts (ONF).

Mme Chirat de l’ODARC

La représentante de L’ODARC, organisme dont la politique forestière est déterminée par la Collectivité Territoriale de Corse (CTC), a exposé que l’Office avait comme objet la mobilisation et la valorisation des ressources et concrètement, « Mettre autour de projets tous les partenaires, techniciens, maires, susceptibles de former une équipe d’accompagnement, qui devra en premier lieu faire une évaluation des ressources en bois de la forêt, sur son aménagement, sur les orientations à donner, l’ODARC venant en accompagnement des projets pour aider les communes à faire ce travail et procéder à une évaluation financière de l’opération. »

Concrètement, le financement des dossiers pour des travaux en forêt ne peut intervenir que sur des espaces publics, et à condition que les communes bénéficient d’un plan d’aménagement de l’ONF en cours de validité.

Sur une question posée par un intervenant, au sujet des forêts privées, Madame Chirat répondait que le Centre Régional de la Propriété Forestière était le mieux à même d’aider les particuliers qui en feraient la demande. L’ODARC « appuyait la gestion des propriétés privés » ce qui toutefois nécessitait préalablement la mise en place d’un plan de gestion.

L’ODARC peut intervenir par des aides, non seulement pour les forêts communales, mais aussi pour aider les petits propriétaires fonciers à se regrouper et à exploiter leurs propres forêts.

M. Paul Hete de l’ONF

Le directeur régional de l’Office National des forêts (ONF) Monsieur Paul Hete, insistait tout particulièrement sur le questionnaire qui avait été adressé aux communes en juillet 2015 et dont très peu d’entre eux avaient été retournés.

Il exposait que le régime forestier était avant tout un régime de régulation et de protection du territoire, qu’il soit productif ou non. Le régime forestier n’est pas synonyme de production de bois, il fait appel à une gestion « durable » des forêts, à un équilibre économique à la protection de la nature et à l’accueil du public, il faut prendre en compte l’ensemble de ces aspects.

L’intervention de ses ouvriers au niveau des forêts communales est insignifiante, ses 30 ouvriers et 4 cadres, n’intervenant que pour 5% de leur temps sur ces dernières, le reste étant pour la Collectivité Territoriale et la lutte contre les incendies.

Il y a certes les coupes de bois qui permettent d’obtenir des profits, mais il doit être tenu compte des routes forestières rétrocédées par l’Etat à la CTC, aujourd’hui souvent impraticables et à la création de pistes et leur entretien particulièrement onéreux.

De plus en plus, l’ONF se cantonne dans un rôle de conseil et de gestionnaire auprès des collectivités, essentiellement « technique, relationnel et fonctionnel ».

Pour les communes, il peut assurer la gestion des forêts dont elles sont propriétaires, en valorisant et en exploitant leurs ressources, par les coupes et les ventes de bois

Les 5 maires du Niolu qui ont animé la réunion à propos de leut piste

Cinq maires du Niolu, propriétaire d’une piste qui traversent le territoire de chacune de leurs communes, devaient monopoliser une grande partie des débats. Ce cas permit de montrer que plus que la création d’une infrastructure, ce sera ensuite son entretien qui posera des difficultés aux communes qui en sont propriétaires, l’ODARC ne souhaitant pas investir dans une piste qui sera impraticable quelques années après avoir été créée.

L’impression donnée est que l’état, depuis 2002 s’est désinvesti et que la Collectivité Territoriale n’a pas encore pris le relais. Quant aux communes, souvent modestes, les pouvoirs dont elles disposent ne trouvent pas en contrepartie les moyens nécessaires.

Un hélicoptère parmi nous

Un hélicoptère parmi nous

 

Que faisait cet hélicoptère qui lundi soir, stationnait sur le terre-plein situé devant la porcherie de Dominique Constantini de Chiatra  ?

Renseignement pris, il s’agit de l’un des appareils appartenant à la société Héliwest, qui les loue à des collectivités ou des entreprises, en l’espèce EDF pour  l’élagage des arbres et végétaux situés près des lignes électriques.   

Il devrait être parmi nous plusieurs jours. 

 

Des coupures de courant sont à prévoir pendant la durée des travaux

 

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