
Galette des rois et cérémonie des voeux
Mme le maire au cours de son allocution (photo Danièle Savignoni)
Comme chaque annĂ©e, la galette des rois aura Ă©tĂ© l’occasion pour madame le maire de prĂ©senter ses voeux Ă ses administrĂ©s rĂ©unis dans la salle de la mairie. Nous aurons l’occasion de revenir sur son allocution.
Informations municipales
Secrétariat de la mairie :
Le secrétariat de la mairie sera fermé lundi 21 janvier 2019 (formation)
Bureau de poste :
Le bureau de poste était fermé jeudi 17 janvier et sera fermé vendredi 18 janvier, mercredi 23 janvier, samedi 26 janvier 2019
Galette des rois RAPPEL :
Galette des rois samedi 19 janvier Ă 14h30 Ă la mairie.

Violoncelles de MoĂŻta, Vingt ans dĂ©jĂ
2019, vingtième anniversaire des rencontres des violoncelles de Moïta,
ce sera du 8 au 14 juillet.

Autres temps, autres moeurs, un texte de Jean Massoni
Messe en juin 2018
Un texte de Jean Massoni*, qui Ă l’occasion d’un concert donnĂ© en l’église St Elie de Pietra di Verde, a laissĂ© « vagabonder » ses souvenirs sur ce que fut la pratique de la religion dans nos villages, jusqu’encore dans la première moitiĂ© du siècle dernier. Une pratique qui rythmait la vie mĂŞme de nos villages tout au long de l’annĂ©e, qui a façonnĂ© l’âme du peuple corse et lui a donnĂ© sa singularitĂ© et ses valeurs, sans que forcĂ©ment l’on fĂ»t obligĂ© de croire «… En l’esprit saint, Ă la rĂ©surrection de la chair, Ă la vie Ă©ternelle » et mĂŞme « en l’église catholique.» Un texte subtil, qui va donc bien au-delà d’une simple description des rites religieux d’un village, un texte Ă©minent, car il nous permet de comprendre l’évolution de nos mĹ“urs.GP.
*
Le temps d’un rĂ©cital
Le 7 aoĂ»t dernier (2009) un rĂ©cital de chants corses a Ă©tĂ© donnĂ© dans l’Ă©glise par une chanteuse Ă la voix bien timbrĂ©e qui a Ă©tĂ© beaucoup applaudie tout au long de la soirĂ©e. Près d’une centaine de personnes occupait les travĂ©es.
Le temps d’un rĂ©cital, j’ai laissĂ© mon esprit vagabonder dans les annĂ©es passĂ©es, aussi loin que je puisse me souvenir, lorsque Pietra comptait plusieurs centaines d’habitants et que l’Ă©glise et sa grande place connaissaient l’affluence, plusieurs fois dans l’annĂ©e, pour les fĂŞtes religieuses.
Je revoyais la Saint Joseph, le 19 mars, au sortir de l’hiver, sous un soleil encore un peu timide qui annonçait les rĂ©coltes Ă venir et les belles journĂ©es du printemps. Au cours de l’après-midi, se dĂ©roulait la première procession de l’annĂ©e nouvelle d’un bout Ă l’autre du village.
Je revoyais la préparation et le déroulement de la Semaine Sainte :
Les via crucis, le dimanche des Rameaux, qui, après la grand’messe, occupaient tant les jeunes Ă fabriquer les « campanili » avec les palmes des « crocette » distribuĂ©es par le prĂŞtre. Les « chiocche », nom que chez nous on donnait couramment Ă l’office des tĂ©nèbres, qu’on ne cĂ©lĂ©brait plus jusqu’Ă l’arrivĂ©e du curĂ© Luciani en 1941 : Les jeunes mais aussi bien des adultes lui substituaient, sur la place de l’Ă©glise, un furieux vacarme qui durait plusieurs heures, au grand dam du curĂ© qui confessait tous ceux et celles qui s’apprĂŞtaient Ă faire leurs Pâques.
Le Vendredi Saint, qui voyait affluer tant de femmes qui ne venaient que très rarement Ă l’Ă©glise. Elles s’agenouillaient et priaient devant le saint sĂ©pulcre, alors dressĂ© dans la chapelle de Saint Augustin, après l’avoir Ă©tĂ© au milieu de la nef jusque dans les annĂ©es vingt du siècle passĂ©. Elles Ă©taient accueillies par les jeunes filles qui avaient participĂ© Ă l’organisation des cĂ©rĂ©monies et qui reprenaient, annĂ©e après annĂ©e, les mĂŞmes chants de circonstances, dont le fameux « Au sang qu’un ». (C’est ainsi que l’on appelait, par les premiers mots de son premier vers, un poème chantĂ© « Au sang qu’un Dieu va rĂ©pandre, Ah! MĂŞlez du moins vos pleurs/ ChrĂ©tiens qui venez entendre le rĂ©cits de ses douleurs… »).
Le Samedi Saint, que le curĂ© consacrait Ă la bĂ©nĂ©diction des maisons du village, suivi d’un groupe très fourni d’enfants de chĹ“ur petits et grands, ne se privant pas de mĂŞler leurs espiègleries aux solennitĂ©s de la journĂ©e. Enfin le dimanche de Pâques, la grand’messe de la rĂ©surrection, qui rĂ©jouissait les esprits et les grands repas de famille qui, eux, rĂ©jouissaient les corps et que les enfants poursuivaient le lendemain par les « merendelle ».
Je revoyais le mois de Marie, « le mois le plus beau » comme le rappelait le cantique repris chaque soir Ă l’heure de la « bĂ©nĂ©diction » par les jeunes filles. C’Ă©tait, bien entendu, le mois de mai. Les fĂŞtes se succĂ©daient peut-on dire sans interruption, la saint Pancrace avec messe et procession Ă la chapelle qui domine le village, l’Ascension, la PentecĂ´te et la FĂŞte Dieu.
De toutes ces fĂŞtes, la FĂŞte Dieu, « Corpu di Cristu » pour le dire en corse, Ă©tait celle qui avait le plus d’Ă©clat: c’est que le Saint Sacrement portĂ© par le prĂŞtre, en grands habits sacerdotaux et sous le baldaquin portĂ© par six « camisgiati » ou confrères, traversait tout le village au cours d’une grandiose procession. Des fillettes, vĂŞtues de blancs, portant une corbeille remplie de pĂ©tales de roses tenue par un ruban, marchaient, deux par deux devant le baldaquin, sous la houlette d’une jeune fille munie d’une clochette. Chaque fois que la clochette tintait, les deux fillettes qui marchaient en tĂŞte, sortaient du rang, revenaient sur leurs pas, faisaient une gĂ©nuflexion et jetaient quelques pĂ©tales devant le prĂŞtre et le Saint Sacrement. Trois reposoirs, appelĂ©s « cappelle », dressĂ©s et ornĂ©s par des paroissiennes Ă©taient disposĂ©s chacun dans un des trois hameaux. La procession s’y arrĂŞtait, le prĂŞtre y dĂ©posait le Saint Sacrement et, au milieu des chants, y procĂ©dait Ă une bĂ©nĂ©diction.
Ainsi s’Ă©coulait la grande procession de la FĂŞte Dieu, non sans donner lieu Ă l’intervention des garçons. La plupart d’entre eux, exception faite des enfants de chĹ“ur les plus assidus, participaient Ă leur manière Ă la fĂŞte des fleurs. Ils jetaient, Ă pleines mains et avec peu de grâce, de gros boutons d’or sur les vieux qui venaient, tĂŞte nue, derrière le baldaquin. Cette façon intempestive et irrĂ©vĂ©rencieuse Ă©tait, ce jour-lĂ , tolĂ©rĂ©e. JĂ©sus n’a-t-il pas dit: « Laissez les enfants venir Ă moi »
Avec l’arrivĂ©e du curĂ© Luciani d’autres pratiques religieuses ont connu un renouveau. Il en fut ainsi des « Rogations ». Les lundi, mardi et mercredi prĂ©cĂ©dents le jeudi de l’Ascension, des processions quittaient le village au petit matin composĂ©e presqu’exclusivement du curĂ©, des enfants de chĹ“ur et de quelques personnes âgĂ©es et se rendaient vers d’anciens oratoires abandonnĂ©s en implorant Dieu pour qu’il accorde de bonnes rĂ©coltes et dĂ©livre les hommes des maux de la terre. Et les « Te rogamus » et les « Libera nos » montaient Ă travers champs.
Mai n’Ă©tait pas fini que dĂ©butait la treizaine (et non pas la neuvaine valable pour les autre saints) de Saint-Antoine, fĂŞtĂ© le 13 juin. Chaque jour, vers le soir, Ă l’heure de la bĂ©nĂ©diction, rĂ©sonnait le « Si quaeris miracula… » en l’honneur du grand saint de Padoue, dans une Ă©glise particulièrement pleine de fidèles. Le culte de Saint Antoine dĂ©passait tous les autres, si ce n’est ceux de la Vierge, le 15 aoĂ»t, et de Saint Augustin, saint patron du village, le 28 aoĂ»t.
Les fĂŞtes du mois d’aoĂ»t Ă©taient pour ainsi dire rehaussĂ©es par le retour de nombreux PiĂ©trolais partis sur le continent ou aux colonies et qui revenaient passer leurs congĂ©s dans leur village. Les tuniques blanches des « coloniaux », les canotiers, les kĂ©pis de la « coloniale », les casquettes des marins et les pompons rouges des matelots, les robes colorĂ©es des Ă©pouses et des enfants tranchaient avec les habits noirs de la plupart des PiĂ©trolaises de l’Ă©poque et des lourds velours des hommes.
Mais les jeunes villageois et surtout les jeunes villageoises commençaient, eux aussi, Ă sacrifier à « la mode ». De religieuse, la Saint Augustin devenait aussi populaire, par la venue d’un marchand d’objets quelque peu de luxe et de jeux d’enfants, qui donnaient lieu Ă des loteries, celle d’un fabriquant de pipes d’Orezza et, plus tard, par le bal donnĂ© la veille et le soir de la fĂŞte.
Le curĂ© de cette Ă©poque Ă©tait le curĂ© Mannoni. Les messes chantĂ©es du dimanche le comblaient. Il aimait monter en chaire et s’adresser aux fidèles, commentant tel passage de l’Evangile du jour. Son grand sermon, il le prononçait chaque annĂ©e le 28 aoĂ»t en rĂ©fĂ©rence au grand Saint Augustin, Ă la thĂ©ologie duquel il adhĂ©rait pleinement.
Le curĂ© Mannoni aimait le faste. Il invitait assez souvent les prĂŞtres des paroisses d’alentour pour des messes concĂ©lĂ©brĂ©es que chez nous on appelle « e messe parate ». Ces jours-lĂ l’Ă©glise Ă©tait comble. Le cĂ©rĂ©monial Ă©tait magnifique. Les prĂŞtres concĂ©lĂ©braient vraiment, l’un lisant ou chantant l’Ă©pĂ®tre, l’autre l’Ă©vangile. Ils Ă©taient parfois cinq autour du principal cĂ©lĂ©brant, le curĂ© Mannoni, qui se rĂ©servait le sermon particulièrement « soigné », et trĂ´nait littĂ©ralement.
Il prenait place sur un fauteuil surĂ©levĂ© Ă droite de l’autel pendant que les jeunes filles chantaient le Gloria ou le Credo ou que les hommes entonnaient le Kirie ou le Sanctus dans les conditions de la paghjella avec une seconda, une terza et un bassu. Les chants, le sermon et les innombrables chandelles, plus tard supplantĂ©es par les ampoules Ă©lectriques mettaient tout le monde en joie. Tous quittaient l’Ă©glise enthousiasmĂ©s.
Venaient enfin les fĂŞtes de l’automne et celles de la NoĂ«l. La Toussaint d’abord, toute entière consacrĂ©e au culte des morts qui ranimait beaucoup tristesse. Puis, le 13 dĂ©cembre, la procession de Sainte Lucie; elle apportait un peu de clartĂ© dans la suite des jours sombres de dĂ©cembre. Puis la NoĂ«l et ses chants de gloire. DĂ©jĂ , en ce temps-lĂ , on ne chantait plus le « Tu scendi dalle stelle » que les anciens Ă©voquaient avec tendresse, mais que, pour la plupart, ils ne connaissaient plus.
D’autres cĂ©rĂ©monies se dĂ©roulaient dans l’Ă©glise, qui n’avaient pas le caractère de fĂŞte. Le prĂŞtre revĂŞtait alors les habits noirs de la messe de requiem et de l’absoute et, autour du catafalque en bois noir, aux trois rangĂ©es de chandelles grĂ©sillantes, montaient les chants funèbres du « Dies irae » au « libera me Domine de morte aeterna », dont la duretĂ© Ă©tait attĂ©nuĂ©e par le « In Paradiso deducant te angeli » et par les paroles du psaume, « Si iniquitates observareris, Domine, Domine qui sustinebit… », empreintes de sagesse humaine.
Ainsi se termine ce vagabondage. Sachons grĂ© au beau rĂ©cital de chants corses du 7 aoĂ»t dans l’Ă©glise de Pietra de l’avoir suscitĂ©.
*La Gazette piétrolaise, A Petra di Verde u nostru paese.
Inscription sur les listes électorales
Communiqué de madame le maire
Pour pouvoir voter aux élections européennes du dimanche 26 mai 2019, il faut être inscrit sur les listes électorales.
Si ce n’est pas le cas n’oubliez pas d’effectuer votre inscription.
Cette démarche est désormais possible jusqu’au 31 mars 2019 et non plus jusqu’au 31 décembre de l’année précédant le scrutin, comme cela était le cas auparavant. La suppression de la date limite du 31 décembre, fait suite à la loi n° 2016-1048
Pour vous inscrire trois solutions :
-En utilisant le service en ligne : service-public.fr
-Par correspondance en envoyant à la mairie la photocopie de votre pièce d’identité et de votre justificatif de domicile ainsi que le formulaire de demande d’inscription complété.
-Ou en mairie en présentant une pièce d’identité récente, un justificatif de domicile et le formulaire de demande d’inscription complété.
Informations municipales
– Le bureau de poste Ă©tait fermĂ© le 8 et 9 janvier , il sera fermĂ© le samedi 12 janvier, le mercredi 16 et le samedi 19 janvier.
– Le Maire, le conseil municipal, invitent la population Ă dĂ©guster la galette des rois le samedi 19 janvier Ă 14h30 Ă la Mairie.
– Lancement du grand dĂ©bat national, le 15 janvier 2019
Pour cette occasion, les administrés de Pietra trouveront un cahier de doléances mis à disposition à la mairie.
Décès de Jeanne Massoni
Nous venons d’apprendre le décès de Jeanne Massoni épouse Gramain, survenu à Montargis à l’âge de 97 ans.
Jeanne était la fille d’Auguste Massoni et de Fifina née Nicolaï.
Si les circonstances de la vie ne lui permettaient plus de venir dans son village, Jeanne avait manifesté la volonté de reposer pour l’éternité dans la terre de ses ancêtres.
La maire et le conseil municipal présentent à son époux Germain, à ses enfants et petits-enfants, aux familles Savignoni et Nicolaï, à ses parents et alliés, leurs condoléances attristées.
La célébration religieuse aura lieu mercredi 9 janvier à 15 heures en l’église St Elie, elle sera suivie de l’inhumation au cimetière du village.

Un doyen au physique de « latin lover »
C’est père Vincent qui fut curé de Pietra avant père Richard, qui a été nommé en août 2017, par Monseigneur Olivier de Germay évêque du diocèse, à la tête du doyenné de la plaine orientale. Un doyenné qui comprend dix unités paroissiales, recouvrant 54 paroisses, dont celle de Pietra di Verde, avec pour les servir cinq prêtres, y compris le doyen.
Dans l’esprit commun, on imagine le doyen d’une institution comme Ă©tant une personne plutĂ´t âgĂ©e, d’aspect sĂ©vère, dont aucun metteur en scène ne ferait incarner le rĂ´le par un acteur encore jeune, au physique avantageux et au sourire charmeur. Mais on sait que l’église ne tient aucun compte de l’aspect physique des gens. « Dieu ne regarde pas Ă l’apparence mais au cĹ“ur »…
Au-delà du titre de dignitĂ© qu’il confère, le doyen a un rĂ´le de plus en plus accusĂ© d’harmonisation, de concertation, d’animation et de conseil, pour les prĂŞtres qui relèvent du doyennĂ©. Le doyen doit rĂ©gulièrement les rĂ©unir pour la mise au point d’activitĂ©s communes telles par exemple la prĂ©paration au mariage et au baptĂŞme, ou pour rĂ©flĂ©chir sur certains thèmes des plus dĂ©licats, comme celui de la relation du clergĂ© avec les laĂŻcs.
Le doyen est aussi un intermédiaire entre l’évêché et les membres du clergé du doyenné. Le doyen détient de la sorte sur les prêtres, un pouvoir d’influence, mais il doit composer ; les prêtres, de moins en moins nombreux, ont par la même de plus en plus de poids dans la relation hiérarchique.
Un élément essentiel, qui fait du doyen un diplomate et un conciliateur, qui doit plus chercher à convaincre qu’à imposer.
Ceux qui connaissent père Vincent pourront dire que sa nomination à cette fonction, pour l’exercice de ce rôle, fut un choix judicieux.

Charles Astolfi n’est plus

Charles comme nombre de corses de sa génération avait quitté le village jeune homme pour embrasser la carrière militaire. Grâce à ses compétences dans le domaine de la famille des équidés, il fut par la suite engagé par la prestigieuse Ecole militaire de Paris, institution d’enseignement supérieur des armées qui comprend la formation des corps de troupe à cheval, en particulier la célèbre garde républicaine, où il exercera ses fonctions jusqu’à son départ en retraite. Charles était très connu et estimé dans son milieu professionnel et dans la plus grande tradition de l’hospitalité corse, certains responsables qui étaient devenus ses amis furent ses invités à Pietra.
Charles était un homme qui inspirait immédiatement la sympathie, respectueux d’autrui, bienveillant à l’égard de tous, généreux et ouvert, on se plaisait à converser avec lui. Possédant à merveille la plupart des œuvres du répertoire traditionnel de la chanson corse, Il n’hésitait, pas lorsque les circonstances s’y prêtaient, à les interpréter pour le plus grand plaisir de tous. Il fait partie de ces hommes qui manqueront à notre village, pour la richesse d’esprit qu’il lui apportait.
Chacun pense aujourd’hui à son épouse Françoise dont on imagine le chagrin tant ils formaient un couple uni, à leur fils Frédéric, son épouse Ingrid leurs enfants Loïc, Diane, Arthur, Bastien, Son frère Antoine Astolfi et sa compagne Andréa, ses sœurs Doria et Annonciade, leurs époux et leurs enfants, tous aujourd’hui dans la peine.
Madame la maire de Pietra di Verde et le conseil municipal leur adressent, ainsi qu’à tous ses parents et alliés leurs condoléances attristées.
Les obsèques seront célébrées à Dampierre en Bray où aura lieu l’inhumation, à une date qui n’a pas encore été déterminée.
Bon annu, pace e salute pe tuttu l’annu !
A merressa, u cunsigliu municipale,
l’impiegati di a merria,
vi auguranu un bon annu 2019
e pace e salute pe tuttu l’annu