SITE OFFICIEL DE LA COMMUNE DE PIETRA DI VERDE

Implantés il y a plusieurs siècles à chacune des trois entrées du village, les crucifix symbolisaient l’appartenance du village à la communauté catholique.

Au fur et à mesure, ils furent restaurés ou remplacés.

Le crucifix situé a i Temponi fut remplacé à la fin des années 70 par une croix en pierre qui reçut la foudre au premier orage et dont les débris furent pendant longtemps visibles sur le bord de la route. Une croix en bois l’a remplacée aussitôt, c’est celle qui existe toujours actuellement.

Au début des années 2000, le socle en vieilles pierre de la croix située en haut du chemin du cimetière, devant la maison Savignoni, a été déplacé sur son parking, pour faciliter la circulation des véhicules.  

Quant à la croix située à l’entrée principale du village, au deuxième pont, elle a toujours été telle que nous l’avons tous connue.

Mais l’usure du temps à fini par en avoir raison. L’une de ses branches est tombée il y a quelques mois.

A l’initiative de Marie-Jeanne Pavia Toracca, Dominique Filippi, menuisier à Figaretto, fils des regrettés César et Lina, la remplacera  bénévolement.

Remercions les pour ce geste qui touche la communauté villageoise toute entière.

C’est la tête pleine de souvenirs que petits et grands reprennent le cours ordinaire de leurs activités…

23 juin la Saint Jean 

11 juillet le Violoncelle de Moïta

25 juillet pendant l’orage…

…Après l’orage

2 août concours de boules

7août Festa in paese

9 août la foire

Messe du 15 août

Faites comme eux, allez admirer la Marianne de Pietra

Tocu sittembre…

…avec l’espoir, pour ceux qui partent, de revenir le plus vite possible.

Beaucoup de monde ce 29 août à la Stalla. Toutes les tables étaient occupées en terrasse par les  dîneurs du samedi soir, tandis que les boulistes finissaient de disputer leur dernière partie,  avant d’aller les rejoindre.

A l’intérieur de l’établissement, les clients  ont eu le très grand plaisir de remarquer la présence d’Antoine Mariani, que chacun a salué avec une joie non dissimulée

Prières, chants laudatifs, psaumes, l’évêque d’Hippone a été honoré comme il se doit, lors de la messe célébrée par le père Vincent curé de la paroisse.

Au cours de son homélie le prêtre a retracé la vie de l’un des plus emblématiques pères de l’église et celle de sa mère Sainte Monique, fêtée la veille.

A la fin de la messe, précédée par le crucifix, la statue du Saint Patron de Pietra devait prodiguer sa symbolique aux seuls fidèles présents sur la place de l’église, la procession dans les rues du village n’ayant pu avoir lieu.

Dernière survivance de la grande fête d’autrefois, la baraque qui jusqu’à l’année dernière offrait à la vente tous les objets saints que l’on trouvait jadis dans la plupart des maisons, a aujourd’hui disparu.      

Mais pas de célébration sans communion, c’est-à-dire sans partage au sein de la communauté villageoise. Des mets et boissons ont été échangés et dégustés par tous les participants, jusqu’à la nuit, dans une ambiance des plus fraternelles qui soient.

Les beaux jours venus, tous ceux qui circulent sur la route reliant Pietra à la plaine, peuvent apercevoir à partir de huit heures du matin un petit groupe d’une dizaine de piétrolaises, marchant d’un pas soutenu.

Elles se dirigent vers Chiatra qui est parfois l’objectif à atteindre, mais elles se contentent souvent de la porcherie Constantini, ce qui est déjà une belle performance. Il s’agit donc d’une véritable marche et certainement pas d’una spasseghjata per chjachjerà.

Sans que l’on sache si les hommes en sont expressément exclus, c’est à l’évidence une affaire de femmes, aucun de ces messieurs n’ayant jamais été vu parmi elles.

Annie, Antoinette, Catherine, Danièle, Dominique, Eliane, Françoise, Madeleine, Marie-France, Monique, Nathalie, Paule, et les autres, entendent bien continuer à marcher et à égayer nos déplacements matinaux, jusqu’à ce que comme chaque année, le groupe ne se dissolve, après que les différentes rentrées aient fait leur œuvre.

Juste avant d’arriver au lieu-dit « I Susini », sur la commune de Pietra di Verde, à environ un quart d’heure de marche après avoir dépassé i Temponi, en direction de Novale, le promeneur qui recherche la beauté des paysages et l’air pur, se trouve confronté depuis plusieurs jours à une odeur pestilentielle, qui fait penser à un animal ou à des viscères d’animaux en décomposition.

Invisible dans le sens Pietra-Novale, c’est au retour, au détour d’un virage, que l’on aperçoit la décharge sauvage, où à l’origine on se débarrassait des végétaux et qui avec le temps, voit s’y déverser tout et n’importe quoi.

Il s’agit d’une pollution olfactive et visuelle du plus mauvais effet et chacun sait que très vite les choses iront en empirant.

Tous ceux qui passeront par-là ne pourront qu’être désolés que de si beaux paysages se trouvent ainsi dégradés et les visiteurs emporteront avec eux une image déformée de notre si belle région.

Que ceux qui aiment leur île y pensent, au moment où avec désinvolture, ils partiront souiller et pour très longtemps, leur bien le plus précieux.         

Les premiers composteurs ont été livrés par la mairie, à leurs destinataires.

Ils font partis des équipements qui vont permettre aux piétrolais de participer au tri sélectif, de la façon la plus efficace qui soit.

Ils sont gratuits et on peut les obtenir sur simple demande.